Alain Chabat s’était royalement cassé les dents avec son RrrrRr sur les hommes préhistoriques. Harold Ramis réussit un peu mieux sans pour autant réaliser la comédie du siècle loin de là. Tout repose en grande partie sur l’acteur principal Jack Black qui se complait dans les rôles propres aux pitreries et le film en regorge. Michael Cera , l’une des révélations de Juno et Supergrave est en revanche bien plus effacé et moins à l’aise en guignol.
Ramis s’amuse a égratigner l’histoire et passe les époques , les civilisations avec une aisance qu’on lui connaît. Alors oui certaines scènes font clairement sourire , des situations cocasses et variées , quelques bons gags mais l’ensemble reste poussif voir limite ringard.
En même temps que pouvait on vraiment attendre de ce film?
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Tous véhicules utilisés dans L'An 1 : Des débuts difficiles
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