Jim Carrey retrouve le monde animalier… L’acteur comique se refait une santé en jouant de nouveaux avec animaux alors qu’un troisième opus des aventures d’Ace Ventura pourrait voir le jour. A ses côtés, outre les pingouins, il est rejoint par le charme implacable de Carla Gugino qui vient d’achever le tournage de la dernière saison de Californication et d’Angela Lansbury, l’actrice de la série culte « Arabesque ».
Adapté d’un roman pour enfant de 1938, le film conte l’histoire d’un homme d’affaire, spécialiste du rachat de bâtiments, se retrouve à la tête de six pingouins venus du grand froid. Il va devoir vivre avec ses animaux, tout en gérant son divorce, ses enfants et son travail.
Allez ! Franchement, on va voir le film pour le plaisir des animaux et de Jim Carrey en train de faire le pitre. On s’attend de toute façon à passer un bon moment. Outre les mimiques de Jim Carrey, on se délecte du côté cabochards des pingouins. Ces animaux ont l’air tellement mignons, tellement heureux de gambader tant dans leur environnement que dans l’appartement du film…
Ayant été à plusieurs reprises dans les plus grands zoos américains (New York, Orlando, Monterey, San Diego), on s’en le plaisir de passer du tant avec ces bêtes. Et on ne peut que regretter d’autant plus les événements de leur continent… Sans être autant cabochard que les ours polaires, on sent qu’ils ont besoin de jouer, de réclamer les sardines en poussant des petits cris etc… Ce film apporte une pierre de plus à l’édifice pour la lutte et la protection de leurs faunes.
Jim Carrey semble avoir passé un grand moment sur le film et y avoir prit du plaisir. Ces mimiques sont aussi de retour en salles, ce qui fait du bien !
Bref, sans être démentiel, le film apporte l’effet escompté. Compte-tenu du temps, je n’ose pas dire qu’on y va pour le climat, mais faut reconnaître que j’y ai passé un bon moment.
Tous véhicules utilisés dans M. Popper et ses pingouins
Toutes les armes utilisées dans M. Popper et ses pingouins
Tous les avions et hélicoptères utilisés dans M. Popper et ses pingouins